L'espoir, on en veut!


Cette campagne réalisée par Palm Arnold pour la Fondation Charles-Bruneau a su utiliser notre esprit de conclusion afin de le tromper de nous atteindre par le fait même.

La première fois que j'ai vu le message, le réalisme et l'intensité de l'émotion de l'homme et de la femme m'a bouleversé dès les premières secondes d'écoute.  De plus, il n'y pas de sujet plus fragile que lorsque l'on parle de la peine d'un parent pour leur enfant. Mais ce que j'ai adoré, c'est l'habilité de la plume qui réussit à changer notre perception de la fatalité seulement par l'ajout de l'adverbe "pas".

Notre compassion nous garde attentifs tout au long du message, mais, par une finale à caractère heureux, le message nous fait vivre une poussière du réconfort que peut ressentir un parent qui se fait annoncer que son enfant malade n'allait pas mourir. On nous partage le désir de croire en l'espoir, car on se dit que ce type de nouvelle serait grandement apprécié si l'un jour on se retrouve dans la même situation.

Une plume très habile additionnée à une émotion profonde donne habituellement de très bons messages publicitaires. Que l'on veule ou non, un jour ou l'autre, on aura tous besoin de croire en l'espoir.


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